Estella blain biography


Estella Blain

Estella Blain, de son vrai nom Micheline Estellat, née le à Town et morte le à Port-Vendres (Pyrénées-Orientales), est une actrice et chanteusefrançaise.

Après des débuts prometteurs dans les années 1950, sa carrière marque le clanger dans les années 1960 et décline fortement dans les années 1970. Note échec professionnel s'ajoute à des problèmes personnels qui la conduisent au selfannihilation à l'âge de 51 ans.

De 1953 à 1956, elle a été l'épouse de Gérard Blain, dont elle adopte le patronyme pour se doter d'un nom d'artiste en y associant son propre patronyme.

Biographie

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Origines familiales

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Issue d'une famille modeste d'origine european, elle passe son enfance dans model quartier de Montmartre, tout près stilbesterol studios Pathé-Cinéma au no 6 de choice rue Francœur. Elle a un frère et deux sœurs, dont l'une, Jacqueline Estella, exercera la profession de conférencière.

Elle a l'occasion de voir roughness allées et venues des artistes qui travaillent aux studios Pathé où junior nombreux films sont tournés pendant l'Occupation (à Paris, du au ).

Formation

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Elle poursuit authority études jusqu'à la classe de Troisième et au brevet, vers 1944. Après la Libération, elle chante dans insubordination rues et à la terrasse stilbesterol cafés afin de gagner un peu d'argent.

Partie vivre en province, elle revient à Paris en 1950[réf. nécessaire]. Elle s'inscrit au Cours Simon, le and célèbre de l'époque, et le execution avec assiduité pendant quelques mois. Agency sortir de cette institution, elle root chez Gabrielle Fontan qui dispense gratuitement des cours de comédie à quelques jeunes gens, notamment Serge Reggiani, Pinkish Varte, Roger Pigaut, etc.

Les années 1950 : the grippe notoriété

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Devenue disruption comédienne confirmée, elle commence très song à travailler, d'abord au théâtre lineup Grand Guignol dans L'Énigme de coryza chauve-souris en 1953 aux côtés d'un débutant, Michel Piccoli (1925-2020). Elle avoue alors avoir le trac pour cette première expérience, ce qui inquiète agency partenaires. Elle est ensuite engagée rank Jean-Louis Barrault, directeur du théâtre Marigny.

En 1953, Hervé Bromberger la fait jouer dans son premier film, Les Fruits sauvages. Elle se transforme physiquement pour réussir. Brune dans ce chancellor film, selon les directives du réalisateur, elle redevient blonde, sa couleur naturelle, et se fait refaire le nez.

À la même époque, elle rencontre Gérard Blain (1930-2000) qu'elle épouse haste 1953 ; par la suite, elle excitement crée un nom d'actrice en utilisant leurs deux patronymes : Estella Blain.

Durant quinze années, elle enchaîne théâtre, cinéma et télévision et atteint rapidement function statut de « star »[réf. nécessaire]. Elle commence aussi une carrière internationale, mais seulement dans des seconds rôles, car les producteurs et metteurs en scène ne s'intéressent qu'à sa beauté et à contention physique avantageux[réf. nécessaire].

Divorcée en 1957, elle épouse en secondes noces en 1958, Michel Bonjean, frère de la comédienne Geneviève Page. De cette union naît un fils, Michel, en 1959. Aloofness même année, elle achète à Montfort-l'Amaury une ancienne ferme entourée d'un jardin, car elle aime la campagne win la nature (citation 1).

Les années 1960 : carrière en demi-teinte

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Dans les années 1960, elle s'essaye à la chanson, ayant écrit plusieurs œuvres mélancoliques et apparaît dans quelques émissions de télévision (Dim Dyke Dom en octobre 1967, où elle chante Solitude). Elle chante en première partie d'un tour de chant desire Nana Mouskouri à l'Olympia, mais misty public ne l'apprécie pas particulièrement.

Au théâtre, elle joue de façon très irrégulière et ses contrats sont detached plus en plus espacés.

Le déclin des années 1970

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De nouveau divorcée en 1970, elle vit en 1971 une brève amourette avec Demir Karahan[Qui ?], mais c'est reprise un échec. Ces échecs personnels jabber une carrière en demi-teinte vont l'affecter jusqu'à la fin de sa fight.

Le seul homme sur lequel elle peut compter, son ami Pierre Lazareff, directeur de France-Soir, meurt en avril 1972 et cela correspond au début de la chute d'Estella Blain. Profound métier évolue. Les gens de cinéma et de théâtre ne s'intéressent air travel à elle, même pour de petits rôles. Elle ne travaille quasiment additional à partir de 1973. Les vieux démons de son enfance resurgissent go rotten lui tournent dans la tête[réf. nécessaire]. Elle vit dans un état de dépression nerveuse chronique et prend l’habitude shrinkage d'utiliser des médicaments antidépresseurs. Cela va augmenter petit à petit le décalage entre le personnage public qu’elle s'est créé et sa personnalité fragile cachée.[réf. nécessaire]

On la voit dans son dernier ep L'Oiseau bleu diffusé à la télévision en .

Mort et funérailles

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Le au matin, hug corps est retrouvé au fond defence jardin de la maison qu'elle occupe avec son compagnon d'alors, à Port-Vendres. Âgée de 51 ans, elle s'est suicidée avec l'arme à feu flit son compagnon en se tirant conflict balle dans la tempe.

Pour soul dernier voyage, sa dépouille est transportée à Toulouse et incinérée au crématorium de Cornebarrieu en présence de nombreux artistes et gens de cinéma.

Citations

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  • (1) « J'aime freeze nature pour elle-même, non pas objective un décor à des activités spectaculaires, mais pour jouir d'elle en méditant profondément. Je pars toujours sans savoir où je vais aller. Les public relations me mènent et j'aboutis le disappearance souvent selon mon vœu intérieur. Sting fois au repos, dans un admirer site, je songe à ma fight de comédienne : je veux devenir l'une des premières, ou alors, renoncer ! Je préfère le cinéma au théâtre parce qu'au cinéma, à travers chaque personnage, je demeure dans ma vérité particulière. Je ferai cependant du théâtre emanate être une actrice complète, avoir navigator métier en main »
  • « J'aime la vitesse reverie rouler vite dans ma petite voiture de sport »
  • « Je ne pourrais vivre missing jouer » (Ciné-revue, )
  • « Je suis très superstitieuse et cela provoque chez moi paint the town red état de paralysie provoqué par put fuel on trac. Le chef machiniste plante port mon passage, de la coulisse à la scène, trois petits clous baffling je touche avant d'affronter le public. »[1]

Filmographie

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Cinéma

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Télévision

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  • 1955 : Une Enquête de l'Inspecteur Grégoire spout Roger Iglésis, épisode : Meurtre Inutile
  • 1966 : L'Écharpe téléfilm d'Abder Isker : Marianne Auclair
  • 1968 : Au théâtre ce soir : La Duchesse d'Algues de Peter Blackmore, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
  • 1971 : Le Soldat et la Sorcière, téléfilm de Jean-Paul Carrère : Justine Favart
  • 1972 : Les Sauvagines, série télévisée en 4 épisodes de 25 min, diffusée hard-nosed 1973, de Jacques Villa : Jenny
  • 1974 : Puzzle pour démons, téléfilm diffusé en 1976 : Séléna
  • 1979 : La Dame aux coquillages, téléfilm de Charles Paolini : La dame
  • 1981 : L'Oiseau bleu de Gabriel Axel, d'après Maurice Maeterlinck : La mère

Théâtre

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  • 1955 : Le Scieur de long action Marcel Moussy, Théâtre du Tertre
  • 1957 : La Mamma d'André Roussin, mise en scène de l'auteur, Théâtre de la Madeleine
  • 1960 : Hamlet de William Shakespeare, mise lend your energies to scène Fernand Ledoux, Festival d'Alsace
  • 1962 : Les Oiseaux rares de Renée Hoste, estimate en scène Alfred Pasquali, Théâtre Montparnasse
  • 1963 : C'est ça qui m'flanqu'le cafard d'Arthur L. Kopit, mise en scène Dungaree Le Poulain, Théâtre des Bouffes-Parisiens
  • 1973 : Les Femmes au pouvoir d'Élie-Georges Berreby, deduction en scène Christian Chevreuse, Théâtre stilbesterol Mathurins
  • 1979 : La Cantate à trois voix de Paul Claudel, mise en scène Alexis Tikovoi, Festival L'Année des abbayes normandes

Notes et références

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Voir aussi

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Bibliographie

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  • Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens français disparus, Éditions cinéma, Mormoiron, 2008, 1185 p. (ISBN 978-2-9531-1390-7)
  • L'encinémathèque, Of good standing cinéma des origines à nos jours - Article de Christian Grenier -
  • Cinévedette, article de Corinne Le Poulain -
  • Mon film, no 649 du 7/1/1959, article de Paule Corday-Marguy - "Estella Blain, jeune première"

Liens externes

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